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20 questions
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- 1. Multiple-choice1 minute1 pt
Quel système de classification permet de placer un enfant le long d’un continuum à l’aide de questionnaires et d’échelles sans avoir l’inconvénient de l’étiqueter ?
L'approche catégorielle
L'approche naturaliste
L'approche développementale
L'approche dimensionnelle
- 2. Multiple-choice1 minute1 pt
L’inné est déterminé par :
Le type de pédagogie en place dans l’école de l’enfant
La place de l’enfant au sein de la famille
Le vécu intra-utérin
Le capital génétique
- 3. Multiple-choice3 minutes1 pt
La maman de Paco, six ans, s’inquiète car il refuse de s’habiller, jouer ou manger sans qu’elle ne soit présente. Elle essaye autant que possible de le rassurer mais il a terriblement peur que sa mère disparaisse. Il se plaint de maux de ventre le matin avant d’aller à l’école, en vient à crier et pleurer afin de ne pas y aller et passe la plupart de sa journée esseulé, triste. Malgré des examens, les médecins ne trouvent aucun problème physiologique expliquant les maux d’estomac. On peut supposer que Paco présente :
Une anxiété de séparation
Une agoraphobie
Une phobie scolaire
Un trouble des conduites
Un trouble oppositionnel avec provocation
- 4. Multiple-choice1 minute1 pt
Les troubles obsessionnels-compulsifs de l'enfant :
Sont communs dans cette population.
Sont difficilement assimilables aux mêmes troubles chez l'adulte.
Comprennent des rituels occupant au moins une heure de son temps par jour (DSM V).
Comprennent des pensées récurrentes et incoercibles dont il peut empêcher l’évocation.
- 5. Multiple-choice2 minutes1 pt
L’apparition d’états anxieux peut être favorisée par :
Une inquiétude relative à l’accessibilité des figures d’attachement.
L’anxiété des parents.
Certaines pratiques éducatives.
Certains événements de vie.
- 6. Multiple-choice1 minute1 pt
Quels sont les trois types de dépression ?
L’épisode dépressif réactionnel
L’épisode dépressif majeur
L’hypomanie
L’épisode dépressif léger
La dysthymie
- 7. Multiple-choice1 minute1 pt
Selon Beck, les erreurs cognitives susceptibles de prédisposer à la dépression et qui composent « la triade cognitive négative » sont :
La généralisation excessive
Les inférences arbitraires
L’abstraction sélective
Le raisonnement émotionnel
L’étiquetage
- 8. Multiple-choice1 minute1 pt
Selon Seligman, la symptomatologie dépressive serait proche de l'attitude passive et résignée qui succède à :
La résignation contrainte
La volonté réfrénée
L’impuissance apprise
L’enthousiasme réprimé
- 9. Multiple-choice1 minute1 pt
Le trouble oppositionnel avec provocation se caractérise par :
Une attitude et des valeurs anti-sociales
Une tendance à la provocation.
De la désobéissance
Des comportements de défi
Une agressivité réactive
- 10. Multiple-choice1 minute1 pt
Selon Bowlby, quelle expérience vécue par l’enfant prédisposerait à des troubles disruptifs en créant chez lui un sentiment de colère important ?
L’expérience de malnutrition dans la petite enfance.
L’expérience de trop nombreuses gratifications injustifiées.
L’expérience de séparations importantes et répétées.
L’expérience de pratiques parentales très coercitives et répétées.
- 11. Multiple-choice2 minutes1 pt
Lorsque l'enfant est soumis à un montant de stress exagéré, il peut y réagir par :
de l'agressivité vis-à-vis de ses pairs
des troubles du sommeil
des troubles de l’alimentation
des colères
une baisse du rendement scolaire
- 12. Multiple-choice1 minute1 pt
La négligence désigne :
l'ensemble des actes à caractère nocif dirigé contre un enfant ou un adolescent et venant d'un parent ou d'une personne en charge de l'enfant.
un cadre socio-économique défavorisé.
une absence ou une insuffisance de soins adéquats.
une pauvreté des contacts sociaux en dehors de l’école.
- 13. Multiple-choice2 minutes1 pt
La déficience intellectuelle est :
un trouble chronique
un trouble aigu
caractérisée par un potentiel et un rendement intellectuels peu élevés
caractérisée par des facilités d’adaptation
caractérisée par une limitation dans les capacités d'abstraction et de conceptualisation.
- 14. Multiple-choice2 minutes1 pt
On définit les troubles spécifiques des apprentissages par :
Un retard dans les acquisitions scolaires supérieur à un an au niveau primaire.
Un retard dans les acquisitions scolaires supérieur à deux ans au niveau secondaire.
La détection d’une déficience intellectuelle.
La présence d’un déficit de l'attention.
La coexistence d’un trouble oppositionnel ou des conduites.
- 15. Multiple-choice1 minute1 pt
La dyslexie est un trouble :
aigu
chronique
limité dans le temps
des apprentissages
- 16. Multiple-choice1 minute1 pt
Parmi les troubles de la communication, on distingue :
le trouble phonologique
le bégaiement
le trouble de langage
le trouble de la communication sociale
- 17. Multiple-choice2 minutes1 pt
Selon Barkley (1990), les enfants qui présentent un DA/H sont peu motivés à réguler et à différer leurs impulsions en fonction des exigences de la situation, car :
Ils sont peu sensibles aux conséquences de leurs actes.
Ils n’ont pas la volonté de satisfaire les adultes.
Ils ont un niveau d'excitabilité inférieur aux autres enfants.
Ils ont un niveau d'excitabilité supérieur aux autres enfants.
- 18. Multiple-choice1 minute1 pt
Pour Barkley (1995), le point commun de tous les symptômes du TDA/H est :
Une éducation trop laxiste dans la petite enfance.
Une paresse à suivre les consignes données par les adultes.
L'insuffisance des mécanismes inhibiteurs du comportement.
Un retard dans le développement psychomoteur.
- 19. Multiple-choice2 minutes1 pt
Quels sont les deux sous-types que l’on peut distinguer dans la boulimie ?
Le recours régulier aux vomissements et/ou à la prise de purgatifs.
Le maintien d'un poids en dessous de leur IMC normal.
Le recours à aucun comportement compensatoire.
Le recours (éventuel) qu’au jeûne ou à des exercices physiques excessifs pour tenter de contrôler leur poids.
- 20. Multiple-choice3 minutes1 pt
Paquita, 17 ans, consulte pour obtenir un régime hypocalorique car elle a grossi de 3 kilos ces 3 derniers mois et a peur de ne pas s’arrêter. Elle pèse 47 kg pour 1m70. Elle n’a pas ses règles depuis près d’une année. A 14 ans, elle pesait 52kg pour 1m68. On la trouvait un peu enveloppée. A 15 ans, à la suite d’un régime, elle était descendue à 47 kg, puis elle avait regrossi progressivement jusqu’à 55 kg pour 1m70 à 16 ans. Elle avait alors entrepris un régime très restrictif sans contrôle médical. Elle dit ne manger que des salades et des yaourts à 0%. Parfois une pomme. Elle adore manger ; elle est gourmande. Elle saute en général le petit-déjeuner et le dîner et ne s’assied jamais à table. Elle n’arrive cependant pas à perdre de poids. Elle se sent déprimée, triste et assure qu’elle irait mieux si elle perdait encore 3/4kg. On peut supposer que Paquita présente :
Une anorexie mentale de type restrictif
Une boulimie.
De l'obésité
Une anorexie mentale de type boulimique.
